Vous êtes de plus en plus nombreux à me poser des questions sur les métiers de décoratrice, décorateur et architecte d’intérieur. De la formation, à la reconversion, le design d’espace a le vent en poupe depuis maintenant plusieurs années. D’ailleurs on ne sait plus trop quel nom lui donner, pour se défendre de ne pas être architecte… mais pas d’inquiétude le décorateur, la décoratrice, a bel et bien son rôle à jouer !
C’est un métier incroyable, d’une richesse sans fin lorsque l’on s’y plonge à coeur perdu. Pour moi, devenir décorateur d’intérieur, va au-delà, de l’agencement et de la décoration d’un espace.
Ce métier appelle à la curiosité. Il nous parle design, architecture, artisanat et parfois même d’art. Et le plus important, il renvoie à l’homme et à nos manières de vivre, tellement différentes les unes des autres.
Je vous parlerai ici, de mon parcours, de ma façon de voir le métier, je vous donnerai les conseils que j’ai suivis et je vous présenterai MMI-Déco, l’école de formation en décoration et en design d’espace dont je suis Ambassadrice.
Passion et reconversion
En ce qui me concerne, j’ai un parcours vraiment atypique. Pas d’école de renom, pas d’école tout cours en fait… Pour la petite histoire, j’ai décidé de faire une reconversion il y a maintenant 8 ans, c’était en 2013.
J’avais alors 33 ans. Maman d’un petit de bout de 5 ans, c’était un changement de vie incontournable, mais pas sans peur et sans remise en question. Il fallait sauter dans le vide !
J’ai commencé par avoir la tête sur les épaules, en passant par un organisme de formation à distance. Malheureusement choisir une école sans avoir de retour, peut vraiment devenir une très mauvaise expérience et une perte d’argent inconsidérable….
Je donc décidé d’avancer en parallèle de mon côté et de me former toute seule sur les questions que je me posais. C’est comme ça, que je me suis lancée sur l’apprentissage de Sketchup, en regardant en boucle des tutos sur YouTube. J’avais certes un petit bagage en histoire de l’art, car dans mes jeunes années, j’ai fait 1an de prépa à Pennigen. Mais les lacunes étaient bien présentes. Je devorais les magazines de déco et achetais des livres de design et d’architecture à la pelle.
Au bout de 3 mois, j’ai failli tout lâcher ! Il me restait un truc à faire avant de me résigner, les fameux stages en entreprise, un des avantages que l’école en ligne me procurait.
Après une centaine de mails, pour une simple demande de stage – et même si je viens du Sud, je ne pense pas exagérer – J’ai enfin reçu une réponse positive. Et c’est là, que je rencontrais, celle qui allait devenir mon amie, Alexa Funes, fondatrice d’Atelier Germain.
D’un simple stage, je suis devenue décoratrice en freelance aux côtés d’Alexa. Je maitrisais les logiciels et j’avais quelques notions sur l’histoire de ce métier, elle m’a appris ce que je devais savoir, sur la lumière, les couleurs et les matériaux. Quant à l’agencement d’espace, les 6 mois de stage m’ont appris beaucoup de choses, ainsi que l’écoute que je portais aux besoins de mes clients
Ensuite j’ai créé mon blog, je voulais partager cet univers incroyable que je découvrais et toutes ces choses que j’apprenais. C’est d’ailleurs, aujourd’hui, toujours le but de ce blog, ainsi que ceux de mes réseaux sociaux. Puis j’ai été casté pour l’émission Teva Déco et l’aventure pouvait continuer.
Vous êtes nombreux à avoir des doutes, est ce que ce métier est bouché ? Est-ce que vous allez pouvoir en vivre ? Comment se sentir légitime dans un métier artistique tel que la décoration d’intérieur ?
Une chose est sure, j’y suis arrivée ! Je me suis battue, j’ai fait de belles rencontres et j’y suis arrivée. Je vous confirme donc que le but n’est pas inatteignable et que l’on peut en vivre. Certains diront, que Teva a dû faire tout le Job, la réponse est non. Ce que Teva m’a apporté c’est évidemment la notoriété et donc la possibilité d’avoir des clients plus rapidement. Mais heureusement que je ne me suis pas reposée que là-dessus.
Apprentissage et formation
L’apprentissage est pour moi indispensable. Je ne vous parle pas de faire 6 ans d’étude, je vous parle d’avoir des bases, de connaitre votre sujet et d’être curieux. De savoir que le bleu et le rouge font du violet, vous permet de vous asseoir sur des valeurs sures. Pour autant, rien ne vous empêche après d’utiliser un violet pastel, un violet soutenu ou encore, de ne pas en utiliser. Pour s’émanciper, il faut avoir la connaissance et un soupçon d’instinct, même si l’émancipation ne sied pas à tout le monde et que cette dernière n’est pas indispensable.
Vous gagnerez également en légitimité et c’est le mal dont souffrent beaucoup de décoratrices et de décorateurs. Parce que tout n’est pas écrit, l’expérience est à construire ! Il faut partir du client, de ses besoins, de sa manière de vivre et de ressentir les choses… Et fonctionner aussi à l’instinct, car l’art n’est pas une science exacte.
Et puis, il y a les réseaux sociaux… le magnifique travail de nos confrères étalés sur la toile, ces murs panoramiques incroyables, ces meubles sur-mesures ton sur ton et ces somptueux appartements haussmaniens… Ne vous empêchez de rien, si l’envie de votre client est là, mais votre objectif est de répondre à des besoins et des problématiques uniques, pas d’avoir le plus joli compte insta. Alors oui ça aide, mais ce n’est pas le même métier, ni le même budget.
Non pas que je sois une référence, mais sur mon compte insta, je montre très peu mes projets. D’une part, parce que je travaille pour que mes clients se sentent bien chez eux et pas pour leur imposer ce que l’on voit partout, ni pour illustrer mes réseaux sociaux. Et enfin, parce que ma façon de travailler, réside essentiellement dans le conseil, plus que dans l’application. Même si je fais régulièrement des projets de A à Z et que j’adore partagé les épisodes « On Parle Déco », où j’explique mon processus de travail.
Quelle école de décoration choisir ?
Enfin pour tous ceux qui me demandent vers quelle école se tourner, vous aurez compris, que je ne peux pas vous faire de retour d’expérience, mais après m’être penché sur la question, j’ai bien une réponse à vous donner.
Si mon attention s’est portée sur MMI, c’est tout d’abord, parce que Lorène, ma collaboratrice depuis 6 ans a fait ses classes là bas et que Matthieu Hagel, fondateur de MHDéco et ami, y donne des cours.
Alors, j’ai rencontré Sandy et Myriam ! Je leur ai demandé si je pouvais découvrir leur programme et notamment celui de leur formation en ligne, pour pouvoir me faire ma propre opinion et j’ai été séduite par leur méthodologie et leur contenu.
MMI-Déco propose des formations professionnelles en centre et à distance, en décoration intérieure, design d’espace et architecture intérieure. Vous pouvez choisir d’intégrer leurs écoles basées à Paris et à Aix-en-Provence, avec, par exemple, une formation en Décorateur & Conseiller en design d’espace, d’une durée de 15 semaines, ou encore choisir leur formation décoration en ligne, qui, elle, est une formation déco e-learning sur 6 mois intégrant des cours en ligne créés par leurs formateurs spécialisés en décoration et architecture intérieure, 10 rendez-vous avec un tuteur, 15 classes virtuelles, ou encore 8 webinaires (conférence sur un thème avec un expert).
ou encore choisir l’option formation en ligne. Je vous laisse y jeter un oeil, peut-être y trouverez-vous votre bonheur.
Si vous avez des questions, n’hésitez pas !
J’adore j’adore et j’adore !j’espère monté très haut comme toi Jessica je sais que je suis encore loin moi même stagiaire de mmi déco moi aussi je recherche encore des stages pour grandir aussi mon souhait le plus chère c’est de te rencontrer toi et Stéphane Plaza au moins une journée pourquoi pas !c’est avec des personnes comme vous aussi pour grandir ,tous les jours je suis sur les logiciels pour m améliorer
Bravo à toi
Bravo MMI déco
Gros bisous